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François Thomas, président de SOS MEDITERRANEE
6 avril 2021

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« Les ports libyens ne sont pas des lieux sûrs, c’est reconnu par la communauté internationale, par l’ONU et par la Commission européenne. » 

A la barre de SOS MEDITERRANEE depuis juin 2019, le capitaine de la marine marchande François Thomas jouit de l’expérience de toute une carrière en mer, dont plusieurs années pour des structures à vocation humanitaire. Aujourd’hui, c’est la question des naufrages en Méditerranée qui l’anime plus que tout, et il en connaît désormais tous les contours.  « Il n’y a absolument aucune corrélation [entre la présence des navires des ONG et les départs de Libye]. L’influence principale qui fait que les départs augmentent, ce sont les conditions météorologiques… » explique-t-il.

Il démonte, à coups de faits documentés, de références légales en matière de droit maritime et d’études universitaires quelques « fake news » et autres idées reçues sur l’action des ONG de sauvetage. Est-ce légal pour les ONG de faire du sauvetage en mer ? Peut-on ramener en Libye des personnes secourues en mer ? Est-il vrai que la présence de navires de sauvetage pousse plus de migrants à prendre la mer ? La réponse à ces questions dans cette vidéo.
 

Crédits vidéo : Urban prod
Photo : Yannick Taranco / SOS MEDITERRANEE

Télécharger le dépliant « Stop aux fake news«  illustré par Rodho

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